Ma part de vérité aux dirigeants Africains
Il est très important de montrer et de donner sa part de vérité dans le combat que nous menons pour sortir l’Afrique et sa jeunesse que nous constituons dans sa précarité. En tant que fils de l’Afrique, fils du Dahomey (BÉNIN) pays du vaudou dont j’en suis fier, car partie intégrante de ma culture.
Je suis un juriste, blogueur, poète, écrivain, spécialiste des questions politiques Africaines et président du Mouvement Panafricain des Jeunes d’Afrique et de la Diaspora (LE MOPJAD).
Je ne suis plus à présenter car tout un chacun de vous aurait un temps soit peu entendu ce nom sur les réseaux sociaux ou lu mes articles ou prise de position dans la presse en ligne tant nationale qu’internationale. Cependant mes camarades de lutte ne semblent pas savoir celui qui est derrière cette résistance farouche à l’impérialiste, qui envahisse l’Afrique et pillent ses richesses ainsi qu’aux soit disant « guide éclairés » qui s’éternise au pouvoir pensant confondre la République aux successions familiales en abêtissant le peuple surtout la jeunesse. Parfois avec mes prises de position pour nos leaders que dis-je nos demi-leaders que nous avons en Afrique qui ne défend que leurs propres intérêts et celui de la métropole leurs maitres en laissant sur l’autel des intérêts égoïstes la survie de leurs compatriotes. Mes camarades se demandent pour qui je travaille ? Il est tant de dire sa part de vérité.
Je suis à l’Etat Civil BADIROU Mahfouz. O. Akanni, née le 05 juin 1987 à PORTO-NOVO, communément appelé la capitale ROUGE ; de part sa situation géographie et son abandon total du point de vue infrastructure. Toute porte à croire que PORTO- NOVO n’est pas dans le BÉNIN.
J’ai fais mes études primaires sans problèmes comme tout les enfants de mon âge à ce moment là. A cette époque tout le monde était naïf. Mais la lucidité commença à m’éclairer lors de mes études secondaires ou je commençai par comprendre les vrais problèmes de mon continent et ses solutions que je vous invite à suivre.
Reposant sur son mauvais choix de développement, il se débat comme un beau diable. Son avenir semble incertain et précaire son avenir. Parti intégrante du monde, elle parait exclue de l’échiquier international. Les dirigeants, comme des guides éclairées annoncent avec fracas des projets et des grands chantiers qui deviendront plus tard des éléphants blancs. Pendant ce temps le vrai développement est immolé sur l’autel des intérêts égoïstes, dans les comptes en banque suisse. (Par exemple le feu président Omar BONGO et son homologue congolais Denis SASSOU N’GUESSO ont respectivement chacun un patrimoine financier en France estimé à des millions d’euros alors que les populations de leurs pays souffrent de la famille et la misère). On assiste donc alors à une famine accrue avec en toile de fond la pauvreté et son cortège de misère. Des lors, les aider à se développer, c’est d’abord les encourager à créer les conditions psychologies de réceptivités au changement. C’est favoriser l’émergence d’un vaste débat résolument décomplexe sur leur volonté de développement. Comment faire pour mieux faire ?
Nous devons être en éveil et à dormir debout, prêt à agir, à pourchasser le voleur et le violeur et à indiquer la bonne direction à tout ceux qui s’écartent délibérément de la ligne tracée. Pour certains écrivains comme AXELLE KABOU dans son livre « ET SI L’AFRIQUE REFUSAIT LE DÉVELOPPEMENT » l’Afrique ne sortira du trou béant du sous développement ou elle se terre depuis trente ans qu’au prix d’une révolution mentale permettant de purger une fois pour toute la honte de la traite et de la colonisation . l' Afrique larguée elle poursuit « le sous développement de l’Afrique n’est pas du à un manque de capitaux ». Il serait naïf de le croire. Pour comprendre pourquoi ce continent n’a cessé de régresser malgré ses richesses considérables. Il faut se demander comment cela fonctionne au niveau micro- « économique le plus élémentaire, dans la tête. KI-ZERBO « ……stricte neutralité statistique » de peur de parler des mentalités. L ’Afrique est sous développé et stagnante parce qu’elle rejette le développement de toute ces forces.
« il faudrait d’abord la régénérer pour la remettre au premier plan, et l’imposer aux nations nous parait une nécessité. C’est pour cela que l’on compare la terre Africaine à la pirogue du poète qui « tournant et tournant ne sait plus si le vent voulait rire ou pleurer » les idées jouent un rôle capital dans la transformation du monde et tout processus de changement décisif ne peut s’effectuer qu’en fonction d’une grande vision tant il est vrai que tout ce qui se fait , ce fait au nom de l’esperence exagérées . Il faudra d’abord désintoxiquer les mentalités, remettre les pendules à l’heure et surtout placer les individus face à leurs incontournables responsabilités. car les africains sont persuadés que leur destin doit être prise en charge par les étrangers. archi faux car « aucune personne ne vient faire le bonheur à la place de l’autre » donc il faut une véritable politique de désintoxication immédiat de mentalités et repenser le développement car « un seul hirondelle ne peut faire le printemps » il faut se mettre résolument au travail en oubliant les intérêts égoïstes et politiciennes car l’Afrique doit nécessairement s’afficher sur la scène internationale en occupant cette place qui est la sienne comme l’on penser certains écrivains comme KAMADA WA KAMADA dans « L’AFRIQUE , UNE PUISSANCE QUI S’IGNORE » et ABDOULAYE WADE dans « LE DEFI DE L’AFRIQUE » que l’Afrique doit immédiatement et consciencieusement se mettre au travail et comprendre que le destin des peuples Africains dépendra de ses dirigeants. C’est un combat que mènera toujours le Mouvement Panafricain des Jeunes d’Afrique et de la Diaspora (LE MOPJAD)
Que la lutte continue !!!!!
BADIROU Mahfouz
Juriste, blogueur
Spécialistes des questions politiques Africaines
Président du MOPJAD
Fait à PORTO-NOVO le 29 Avril 2014
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