MOPJAD Infos

Pendant longtemps, les impérialistes qui s’étaient attribué un rôle dirigeant en Afrique ont cru pouvoir agir indéfiniment  au nom de nos peuples ; on connait leur échec. Bien souvent, les puissances dominatrices proclamaient alors à la face du monde que leur présence chez s’expliquait et se justifiant moralement  par la nécessité  de nous  apporter leur civilisation ; elles le disaient comme si l’Afrique n’avait pas eu son propre passés, ses propres civilisations hautement développées, mais qui ne s’étaient aliénées qu’au contact de l’impérialisme, quand elles n’étaient pas presque totalement absorbées ou détruites. Aujourd’hui personne ne  conteste qu’il soit impossible d’imposer une  civilisation étrangère  à un peuple, surtout par la brutalité ; mais la chose devient possible si des préoccupations prétendument humanitaires accompagnent une exploitation subtile  mais  systématique. La volonté des peuples africains de voir se réaliser l’unité  de l’Afrique  s’affirme,  sur le plan des moyens de développement , par la volonté de voir le continent accomplir lui –même la mise en valeur de ses propres richesses,  en vue de son progrès.

L’échec du colonialisme tient justement au fait que les puissances coloniales détentrices des moyens de mise en valeur ,n’ont pas employés ces moyens à résorber le déséquilibre qui existait entre le niveau de vie des peuples colonisés e celui des peuples souverains, mais que , bien au contraire, elles ont accentué  ce déséquilibre en exploitants systématiquement les biens et les matières premières et en  transformant nos populations  en bête de somme .même la médecine qu’elles disent apportée est, quand elle existe , du genre vétérinaire. Le procès du colonialisme n’est plus à faire : les faits et l’histoire le condamnent à disparaitre définitivement. Pour couper le cordon ombilical du colonial adhérez massivement au MOPJAD (MOUVEMENT PANAFRICAIN DES JEUNES D’AFRIQUE  ET DE LA DIASPORA)

Vive l’Afrique !!!!!!

Vive le mopjad !!!!!

                                                                                                LE PRESIDENT

                                                                                             MAHFOUZ BADIROU